Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
T O H U B O H U
13 avril 2010

ECRIRE AVEC LE CORPS

      Il dit: " Ca m'étouffe, ça m'étrangle, ça m'incommode, je suis contrarié, j'ai des palpitations, je suis en colère "
Il se regarde. Il ne fait rien.
Réagir en différé
Il faut d'abord prendre conscience de la contrariété puis l'admettre

Bergson: " La maladie est le meilleur moyen de se connaître soi-même "
Maladie, nouvelle expérience à accepter avec bonheur ( christiane Singer )
Pour s'agrandir
Phrases toutes faites
Impressions déjà décrites
Ne pas perdre la joie. Respirer à fond. Se chercher jusqu'à se reconnaître. Que ça n'empêche pas la fluidité, la bonne circulation
Maladie: aigreur, stase, embolie, rigidité apoplexie, étouffement, colère.

La contrariété ne doit pas empêcher la joie, elle doit apprendre quelque chose
Réagir en différé, on ne veut pas voir, on ne peut pas, pourtant on sait
Le corps sait, il ne peut pas y avoir de leurre possible alors pourquoi le déni ?
La dénégation de son corps, des appels, des symptômes du corps, c'est donc la dénégation de soi-même. A quelles fins ? Qu'est ce qui m'empêche de rêver ?
L'écriture sert à ne pas laisser banaliser une sensation, à ne pas laisser passer un symptôme, aide à l'admettre, à le regarder en face
Quel est le stade après le constat ?
_   arrêter la cause de ce malaise
_   ne pas le dénier
_   avoir réellement envie d'être mieux ( comme avant ? )
Je vais bien quand je suis bien
Quel est l'enjeu de persister à être mal sans y remédier ? La perte ? Le à quoi bon ?
Qu'est ce que le soulagement ?
Pleurer de joie quand on retrouve l'équilibre, la joie, c'est pleurer de joie de se retrouver, de s'aimer soi-même, être en adéquation avec soi-même

Publicité
Publicité
Commentaires
T O H U B O H U
Publicité
T   O   H   U     B   O   H   U
Derniers commentaires
Publicité